L’artiste est accueillie en mars et avril 2017 sur une invitation de Moly-Sabata pour Neuf kilomètres, projet pédagogique dans le cadre du Plan local d’éducation artistique et culturel en collaboration avec Jean-Jacques Dubernard et La poterie des Chals de Roussillon.
Julie Digard
française née en 1983
basée à Lyon
diplômée de l’Esadse de Saint-Etienne en 2014
judig@hotmail.fr
http://juliedigard.wix.com/edpeinture
C’est simple. C’est plat. Voici du plaisir irréductible façonné à partir des éternels outils de la peinture. Une forme est donnée à la couleur, et les gammes et les tracés rayonnent en un même pan. Cette réalité frontale, Julie Digard l’affirme en tant que planitude à sculpter. Un vocabulaire géométrique sobre est inspecté selon des combinatoires aux aboutissements enthousiastes. Concentrer la charge plastique, et l’ouvrir. L’artiste orchestre ainsi une éclosion constamment renouvelée, calibrée selon son environnement de travail. Tout peintre capture en deux dimensions, la troisième dans laquelle nous évoluons. La signature de telles surfaces célèbre l’espace, celui de l’atelier, de l’œuvre et de l’exposition.
Télécharger le texte écrit par Joël Riff à l’occasion de la résidence de l’artiste.
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L’artiste a déjà été accueillie à Moly-Sabata en juillet et août 2015 en partenariat avec l’Esadse Saint-Étienne. Elle a remporté le Prix Moly-Sabata 2015 et bénéficié à ce titre d’une bourse de production dotée par la Ville de Saint-Étienne. Son exposition personnelle « À être synthétique » était présentée du 10 septembre au 17 octobre 2015 à La serre avec un vernissage le jeudi 10 septembre 2015 dès 18h à Saint-Étienne.
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Portrait de l’artiste, Moly-Sabata, 2015
vue des l’exposition À être synthétique selon un commissariat par Moly-Sabata à La serre à Saint-Etienne, 2015
Courtoisie de l’artiste